Post by Carl Fombrun on Sept 12, 2004 17:03:12 GMT -5
CONFUSION DES TERMES DE L’ÉGALITARISME SOCIAL.
En Haïti, l’égalité en droit porte le simpliste, donc la grande majorité sociale, toutes classes confondues, à croire que les hommes sont égaux et qu’il faudrait niveler le monde par la vulgarité, la promiscuité. Du surhomme riche ou puissant à l’harengère des bas- fonds, comme par un mot d’ordre cynique, on conspue l’élévation, conspire contre l’idéal légitime de dépassement. Jamais société dite civilisée ne s’est autant insurgée contre la projection positive de soi. Une horde de niais submergés par leur propre imbécillité font tout pour retenir l’individu émergeant dans les ténèbres (vieille allégorie du panier à crabe)! Une triste prédominance du loisir populacier modelé sur un populisme médiatique à l’occidental efface, sinon prime la réflexion et le débat. On entraîne notre jeunesse dans l’évasion et la récréation alors qu’on devait la convoquer sur la vitale recréation d’Haïti qui, sans cette recréation du projet de son vouloir-vivre collectif selon un nouveau contrat social sans démagogie, sombrera à jamais comme un non pays, un non être, fantôme grimaçant et simulant l’existence. De l’extraversion malheureuse du prestige dont les signes sont tous les objets ou services de la consommation à l’impropriété de l’éducation formelle et informelle, on assassine tyranniquement nos jeunes, comme on a sacrifié ceux qui, comme nous, sont à la fin de la trentaine.
Par ailleurs, en Haïti, l’amitié est souvent confondue à de la sujétion de l’ami qui doit être l’ombre et l’écho de l’autre, dès que vient la divergence, on peut facilement le constater par la violence des propos voire l’inimitié et les animosités qui prennent place. L’amour, quant à lui, est possessivité pour l’homme et entretien par le partenaire pour la femme. Et gare à ceux qui n’entrent pas dans ce schéma tracé. Il sera de fait et tyranniquement exclu des privilèges des relations humaines. Le père de famille est un constant martyr, il faut l’entendre se plaindre de s’être sacrifié pour ses enfants! Comme si dans sa fougue de mâle, on l’avait invité à engendrer! On en rencontre, et ils sont légion, qui, tyranniquement, font payer à leurs enfants par le reproche et la brutalité, leur impudence d’être né! Quant aux mères monoparentales haïtiennes, ce sont les êtres les plus méritants de la terre. À côté du mythe de la mère qui s’enracine jusque en celui des déesses-mères, comme celui de la reine Maya, mère du Bouddha Siddhârta ou de la vierge Marie idolâtrée selon la dulie mariale du catholicisme, la mère monoparentale haïtienne est, de par sa maternité difficile de femme seule, une vertueuse voire la vertu même. Elle peut projeter comme elle le veut ses souffrances et frustrations sur la progéniture et celle-ci doit en toute occasion l’adorer et accomplir ses vœux. Elle reproche beaucoup, car cela, soit dit en passant, est une véritable tare haïtienne que de reprocher pour un rien, mais en plus, elle culpabilise, s’aigrit en rappelant à ses enfants qu’ils ont gâché sa vie. En vérité, le mal haïtien doit être traité à ce niveau familial. On ne peut avoir des hommes et femmes dignes quand leur enfance a été une dévalorisation parentale où ils se sont sentis soit indésirés soit coupables du sort de leurs parents. L’école en Haïti est tyrannique. Aucun encadrement, aucune tendance à écouter l’écolier, aucune compréhension des effets familiaux sur le psychisme de l’enfant ou du jeune adulte. Pour la plupart des parents, payer une scolarité pour un enfant est un effort si grand, que l’enfant doit leur répondre par la réussite scolaire quelque soient les circonstances. Autre tyrannie, le culte stupide de l’étranger surtout du blanc mais même du métis ou du noir né dans un pays jugé supérieur; et alors, monte la vieille obsession bestiale de certains haïtiens (ils sont légion) qui croient devoir rabaisser le compatriote pour flatter l’étranger. C’est le peuple le plus ouvert! Ouverture complexée et idiote qui n’est en fait que l’autopunition par la flagornerie pour hisser l’autre au rang de seigneur. Pour le reste, la tyrannie des églises, ces prêtres et pasteurs, ces houngans qui prennent en main selon leurs propres insanités caractérielles et désirs de puissance la vie des ouailles, sévit et se charge de retourner ce peuple à l’esclavage.
MISÉRABILISME TYRANNIQUE ET CONSTANTE FASCISTE EN POLITIQUE.
S’il est une constante dans la politique haïtienne des 50 dernières années, je réponds qu’elle ne peut être que le fascisme. Or, nous savons que le fascisme ne survient jamais des seuls politiciens mais du sinistre consensus des classes moyennes, de certains secteurs parasitaires et frustrés de la bourgeoisie décadente et une adhésion des masses embringuées par le discours populiste et nationaliste qu’entretiennent les couches petites-bourgeoises. La tyrannie est l’effigie des classes et est ancrée dans la religion de l’haïtien. Dieu qu’il soit du vaudou ou même du christianisme, l’homme haïtien lui prête des manières de dictateur qui attend le faux pas de l’homme pour le briser, l’exterminer. Tout en Haïti est essentialisé, ontologisé, et mystifié. C’est le pays des hommes-mythes vivants. Tel professeur est si grand si divin, que toucher à ses assertions « spécialisées », c’est commettre un blasphème contre le dieu adoré de la théogonie profane. En tout, il s’agit tyranniquement d’intimider. Dans le même registre où la théologisation des êtres et choses prime l’intellection froide, c’est le diktat des structures officielles blanches de reconnaissance, toute démarche autonome est suspecte et abhorrée par les minus critiques, inaptes à la froideur intellectuelle dans le rapport analytique et cognitif aux choses. Nous savons que ce genre de tyrans officiels avec l’onction de la société existe partout au monde, mais en Haïti, terre de tous les surfaits, ils prennent des proportions encore plus inquiétantes. La « théodicée de leur propre privilège » ainsi que l’appelle Weber, caractérise dans les sociétés, l’ultime manipulation, l’extrême tyrannie des suprêmes seigneurs de l’establishment scolaire qui finissent par faire des institutions de transmission et de reconnaissance des connaissances, des dogmes, des absolus idiots que les non moins idiots abêtis de la société suivent aveuglément par snobisme d’intello. En Haïti, dernier des derniers réceptacles de ces imbécillités, les plus médiocres les seigneurs du vide en profitent pour discréditer le savoir de ceux qu’ils n’égaleront jamais parce que trop esclaves du livresque, trop hétéronomes dans leur esprit. Outre cela, dans la quête de se pavaner, beaucoup de femmes haïtiennes sont assez érotisées par la puissance pour se donner aux pires criminels parce que ceux-ci leur permettent d’agresser n’importe qui avec la certitude de l’impunité voire le pouvoir d’envoyer leur gorille de mari agresser qui elles veulent. En vérité, l’irrespect atroce qu’est la tyrannie est une question sociale, un drame humain que l’éducation, la législation et la répression judiciaire doivent s’efforcer conjointement d’enrayer. La vision du chef, bon papa du peuple malgré lui vu que tous lui lèchent la semelle pour qu’il intervienne même dans leur vie privée, doit être révolue. En vérité, il est difficile d’avoir un privilège en Haïti sans se croire un surhomme car l’essentialisation et l’idolâtrie culturelle de notre société y pousse bêtement! Nous des idolâtres, des courtisans et nous aimons la flagornerie! La petite histoire rapporte que Vincent a déclaré avoir trouvé tous les hommes sur le ventre et toutes les femmes sur le dos lorsqu’il est entré comme président au palais national, tout comme un homme ayant perdu son emploi dans l’État sous François Duvalier, l’a attendu à genoux dans les couloirs du palais pour lui adresser une prière de miséricorde digne de celles qu’on adresse à Dieu, de même, on rapporte qu’un militaire en uniforme a supplié un jour, un puissant ministre de l’intérieur qui ne l’aimait pas de mettre la semelle sur son genoux pour lui épousseter avec son mouchoir, la chaussure légèrement poussiéreuse!
Il faut que le respect soit enseigné et non l’adoration, l’infrahumaine flagornerie. Nous devons garder le frémissement et le sentiment de mortel qui doit louer l’Éternel pour les rapports spirituels avec Dieu et non les transposer dans les relations avec les mortels quelque soient leur situation. D’ailleurs, pour un croyant, cela relève du blasphème et de l’idolâtrie. L’haïtien doit rejoindre la dignité par l’estime de soi. Celui qui peut flatter comme un moins que rien peut aussi mentir, moucharder et tuer pour plaire à son maître. Dans le même temps le respect de la vie, le respect du droit au respect de l’autre, le respect de la différence, le respect des biens d’autrui bien acquis, le respect de la vie privée, le respect du vrai mérite doivent finalement intervenir et enrayer définitivement les ordures mentales du populisme et du fascisme, ces seules faces de monstres qu’a toujours offert notre pays au citoyen et au monde.
Que l’État haïtien et surtout l’Homme et la Femme d’Haïti conscients de leur humanité se débarrassent des ferments tératogènes de la société qui font de nous souvent des bêtes sauvages, tyranniques qui oublient le respect de l’homme et dévorent leur humanité! Alors que la nature elle-même est aujourd’hui transformée malheureusement souvent pour le pire par des mutations provoquées selon la manipulation génétique, la beauté de la culture, elle, est de pouvoir être métamorphosée et propulsée pour le meilleur au-dessus des tares, afin de rejoindre sa vocation primitive originaire: la transcendance de l’animalité de l’homme par l’esprit et la raison façonnant esthétiquement jusqu'à la sensibilité et à l’émotion!
En Haïti, l’égalité en droit porte le simpliste, donc la grande majorité sociale, toutes classes confondues, à croire que les hommes sont égaux et qu’il faudrait niveler le monde par la vulgarité, la promiscuité. Du surhomme riche ou puissant à l’harengère des bas- fonds, comme par un mot d’ordre cynique, on conspue l’élévation, conspire contre l’idéal légitime de dépassement. Jamais société dite civilisée ne s’est autant insurgée contre la projection positive de soi. Une horde de niais submergés par leur propre imbécillité font tout pour retenir l’individu émergeant dans les ténèbres (vieille allégorie du panier à crabe)! Une triste prédominance du loisir populacier modelé sur un populisme médiatique à l’occidental efface, sinon prime la réflexion et le débat. On entraîne notre jeunesse dans l’évasion et la récréation alors qu’on devait la convoquer sur la vitale recréation d’Haïti qui, sans cette recréation du projet de son vouloir-vivre collectif selon un nouveau contrat social sans démagogie, sombrera à jamais comme un non pays, un non être, fantôme grimaçant et simulant l’existence. De l’extraversion malheureuse du prestige dont les signes sont tous les objets ou services de la consommation à l’impropriété de l’éducation formelle et informelle, on assassine tyranniquement nos jeunes, comme on a sacrifié ceux qui, comme nous, sont à la fin de la trentaine.
Par ailleurs, en Haïti, l’amitié est souvent confondue à de la sujétion de l’ami qui doit être l’ombre et l’écho de l’autre, dès que vient la divergence, on peut facilement le constater par la violence des propos voire l’inimitié et les animosités qui prennent place. L’amour, quant à lui, est possessivité pour l’homme et entretien par le partenaire pour la femme. Et gare à ceux qui n’entrent pas dans ce schéma tracé. Il sera de fait et tyranniquement exclu des privilèges des relations humaines. Le père de famille est un constant martyr, il faut l’entendre se plaindre de s’être sacrifié pour ses enfants! Comme si dans sa fougue de mâle, on l’avait invité à engendrer! On en rencontre, et ils sont légion, qui, tyranniquement, font payer à leurs enfants par le reproche et la brutalité, leur impudence d’être né! Quant aux mères monoparentales haïtiennes, ce sont les êtres les plus méritants de la terre. À côté du mythe de la mère qui s’enracine jusque en celui des déesses-mères, comme celui de la reine Maya, mère du Bouddha Siddhârta ou de la vierge Marie idolâtrée selon la dulie mariale du catholicisme, la mère monoparentale haïtienne est, de par sa maternité difficile de femme seule, une vertueuse voire la vertu même. Elle peut projeter comme elle le veut ses souffrances et frustrations sur la progéniture et celle-ci doit en toute occasion l’adorer et accomplir ses vœux. Elle reproche beaucoup, car cela, soit dit en passant, est une véritable tare haïtienne que de reprocher pour un rien, mais en plus, elle culpabilise, s’aigrit en rappelant à ses enfants qu’ils ont gâché sa vie. En vérité, le mal haïtien doit être traité à ce niveau familial. On ne peut avoir des hommes et femmes dignes quand leur enfance a été une dévalorisation parentale où ils se sont sentis soit indésirés soit coupables du sort de leurs parents. L’école en Haïti est tyrannique. Aucun encadrement, aucune tendance à écouter l’écolier, aucune compréhension des effets familiaux sur le psychisme de l’enfant ou du jeune adulte. Pour la plupart des parents, payer une scolarité pour un enfant est un effort si grand, que l’enfant doit leur répondre par la réussite scolaire quelque soient les circonstances. Autre tyrannie, le culte stupide de l’étranger surtout du blanc mais même du métis ou du noir né dans un pays jugé supérieur; et alors, monte la vieille obsession bestiale de certains haïtiens (ils sont légion) qui croient devoir rabaisser le compatriote pour flatter l’étranger. C’est le peuple le plus ouvert! Ouverture complexée et idiote qui n’est en fait que l’autopunition par la flagornerie pour hisser l’autre au rang de seigneur. Pour le reste, la tyrannie des églises, ces prêtres et pasteurs, ces houngans qui prennent en main selon leurs propres insanités caractérielles et désirs de puissance la vie des ouailles, sévit et se charge de retourner ce peuple à l’esclavage.
MISÉRABILISME TYRANNIQUE ET CONSTANTE FASCISTE EN POLITIQUE.
S’il est une constante dans la politique haïtienne des 50 dernières années, je réponds qu’elle ne peut être que le fascisme. Or, nous savons que le fascisme ne survient jamais des seuls politiciens mais du sinistre consensus des classes moyennes, de certains secteurs parasitaires et frustrés de la bourgeoisie décadente et une adhésion des masses embringuées par le discours populiste et nationaliste qu’entretiennent les couches petites-bourgeoises. La tyrannie est l’effigie des classes et est ancrée dans la religion de l’haïtien. Dieu qu’il soit du vaudou ou même du christianisme, l’homme haïtien lui prête des manières de dictateur qui attend le faux pas de l’homme pour le briser, l’exterminer. Tout en Haïti est essentialisé, ontologisé, et mystifié. C’est le pays des hommes-mythes vivants. Tel professeur est si grand si divin, que toucher à ses assertions « spécialisées », c’est commettre un blasphème contre le dieu adoré de la théogonie profane. En tout, il s’agit tyranniquement d’intimider. Dans le même registre où la théologisation des êtres et choses prime l’intellection froide, c’est le diktat des structures officielles blanches de reconnaissance, toute démarche autonome est suspecte et abhorrée par les minus critiques, inaptes à la froideur intellectuelle dans le rapport analytique et cognitif aux choses. Nous savons que ce genre de tyrans officiels avec l’onction de la société existe partout au monde, mais en Haïti, terre de tous les surfaits, ils prennent des proportions encore plus inquiétantes. La « théodicée de leur propre privilège » ainsi que l’appelle Weber, caractérise dans les sociétés, l’ultime manipulation, l’extrême tyrannie des suprêmes seigneurs de l’establishment scolaire qui finissent par faire des institutions de transmission et de reconnaissance des connaissances, des dogmes, des absolus idiots que les non moins idiots abêtis de la société suivent aveuglément par snobisme d’intello. En Haïti, dernier des derniers réceptacles de ces imbécillités, les plus médiocres les seigneurs du vide en profitent pour discréditer le savoir de ceux qu’ils n’égaleront jamais parce que trop esclaves du livresque, trop hétéronomes dans leur esprit. Outre cela, dans la quête de se pavaner, beaucoup de femmes haïtiennes sont assez érotisées par la puissance pour se donner aux pires criminels parce que ceux-ci leur permettent d’agresser n’importe qui avec la certitude de l’impunité voire le pouvoir d’envoyer leur gorille de mari agresser qui elles veulent. En vérité, l’irrespect atroce qu’est la tyrannie est une question sociale, un drame humain que l’éducation, la législation et la répression judiciaire doivent s’efforcer conjointement d’enrayer. La vision du chef, bon papa du peuple malgré lui vu que tous lui lèchent la semelle pour qu’il intervienne même dans leur vie privée, doit être révolue. En vérité, il est difficile d’avoir un privilège en Haïti sans se croire un surhomme car l’essentialisation et l’idolâtrie culturelle de notre société y pousse bêtement! Nous des idolâtres, des courtisans et nous aimons la flagornerie! La petite histoire rapporte que Vincent a déclaré avoir trouvé tous les hommes sur le ventre et toutes les femmes sur le dos lorsqu’il est entré comme président au palais national, tout comme un homme ayant perdu son emploi dans l’État sous François Duvalier, l’a attendu à genoux dans les couloirs du palais pour lui adresser une prière de miséricorde digne de celles qu’on adresse à Dieu, de même, on rapporte qu’un militaire en uniforme a supplié un jour, un puissant ministre de l’intérieur qui ne l’aimait pas de mettre la semelle sur son genoux pour lui épousseter avec son mouchoir, la chaussure légèrement poussiéreuse!
Il faut que le respect soit enseigné et non l’adoration, l’infrahumaine flagornerie. Nous devons garder le frémissement et le sentiment de mortel qui doit louer l’Éternel pour les rapports spirituels avec Dieu et non les transposer dans les relations avec les mortels quelque soient leur situation. D’ailleurs, pour un croyant, cela relève du blasphème et de l’idolâtrie. L’haïtien doit rejoindre la dignité par l’estime de soi. Celui qui peut flatter comme un moins que rien peut aussi mentir, moucharder et tuer pour plaire à son maître. Dans le même temps le respect de la vie, le respect du droit au respect de l’autre, le respect de la différence, le respect des biens d’autrui bien acquis, le respect de la vie privée, le respect du vrai mérite doivent finalement intervenir et enrayer définitivement les ordures mentales du populisme et du fascisme, ces seules faces de monstres qu’a toujours offert notre pays au citoyen et au monde.
Que l’État haïtien et surtout l’Homme et la Femme d’Haïti conscients de leur humanité se débarrassent des ferments tératogènes de la société qui font de nous souvent des bêtes sauvages, tyranniques qui oublient le respect de l’homme et dévorent leur humanité! Alors que la nature elle-même est aujourd’hui transformée malheureusement souvent pour le pire par des mutations provoquées selon la manipulation génétique, la beauté de la culture, elle, est de pouvoir être métamorphosée et propulsée pour le meilleur au-dessus des tares, afin de rejoindre sa vocation primitive originaire: la transcendance de l’animalité de l’homme par l’esprit et la raison façonnant esthétiquement jusqu'à la sensibilité et à l’émotion!